Structure coopérative de recherche de l’Université de Bretagne Occidentale (LEMAR UMR 6539 – IUEM – Faculté Victor Segalen) Brest
Aujourd’hui Apolimer est basé à Paris et rattaché au Centre de recherches politiques de Sciences Po, le CEVIPOF. A partir de ce centre spécialisé dans l’étude de la vie politique, nous apportons notre contribution à l’observation et à la transformation de l’action publique vers la soutenabilité dans le domaine environnemental et maritime. Le réseau est solidement arrimé à des centres de recherche partenaires, dans les outre-mer et dans plusieurs pays à l’étranger.
Labellisé en 2023 pour une durée de cinq ans, ce réseau bénéficie du soutien de l’Institut des sciences humaines et sociales du CNRS, de Sciences Po (CEVIPOF, Paris), du Center for Pacific Islands Studies de l’University of Hawaiʻi at Mānoa et du Centre de droit de l’environnement et de la durabilité planétaire de l’Université d’Ottawa.
Nous collaborons avec plusieurs unités de recherche françaises comme le CRIOBE, MARBEC, le LEMAR, AMURE, ECOBIO, le LIEC, le LC2S et avec des universités à l’étranger, comme à Vancouver ou à Stockholm.
Notre histoire
Apolimer a parcouru un long chemin entre les terres, les mers et les airs depuis sa création en 2015 à la pointe de la Bretagne, en Finistère, à l’Université de Bretagne occidentale (UBO). Nous étions au départ une structure coopérative de recherche, un pont tendu entre la faculté Victor Segalen de lettres et de sciences humaines et l’Institut universitaire européen de la mer. Nous sommes ensuite devenus Réseau thématique pluridisciplinaire international (RTPI) de l’Institut Ecologie et environnement du CNRS. Nous sommes aujourd’hui un Réseau de recherche international (International research network – IRN) de l’Institut Sciences humaines et sociales du CNRS, qui réunit plusieurs unités de recherche, du CNRS et d’institutions étrangères, notamment à Hawai’i, Ottawa, Vancouver.
Lire la publication : La solidarité écologique de la science à l’(in)action publique, de Camille MAZÉ et Olivier RAGUENEAU
APOLIMER a été structuré comme un pont entre les sciences humaines et sociales, les sciences de l’environnement marin puis les sciences mathématiques et informatiques. L’UBO a soutenu le projet initial, sous la forme d’une structure coopérative de recherche, à laquelle ont contribué des politistes, géographes, juristes et anthropologues. Nous avons renforcé l’immersion des sciences humaines et sociales dans les sciences de la mer et notre intégration dans les laboratoires de l’IUEM.
Apolimer a été labellisé en 2015 Réseau thématique pluridisciplinaire du CNRS par l’Institut écologie et environnement (INEE). Le réseau a continué à se développer à partir du Centre d’études biologiques de Chizé (CEBC) puis du Laboratoire Littoral, Environnements, Sociétés (LIENSs) situé à la Rochelle. Il a reçu le soutien de l’Université de La Rochelle et de la Fédération de la recherche pour le développement durable (FREDD).
Le réseau s’est étoffé et a poursuivi sa route, pour rejoindre un port d’attache moins maritime (Paris) mais néanmoins très connecté aux territoires marins et ultra-marins français, aux unités de recherche du CNRS ou de l’IRD qui y sont basés, ainsi qu’à plusieurs centres de recherche à l’étranger. Il est aujourd’hui basé à Sciences Po – Paris, au CEVIPOF où il évolue en étroite interaction avec la Chaire Outre-mer.
Nous avons donc, depuis bientôt dix ans, navigué, parfois non sans difficulté, au confluent des sciences et des savoirs locaux, aux interfaces avec les arts et l’action politique, pour renforcer la contribution des humanités environnementales à la compréhension et à la transformation de nos manières de nous représenter la nature et le vivant. Notre objectif est devenu limpide: faire connaître, documenter et rendre compte de la nécessité vitale de prendre au sérieux les connexions et interactions entre la terre, la mer et l’air, entre les humains et leurs habitats et les populations non humaines dont ils dépendent, sans ignorer les relations de pouvoir, les conflits et les risques majeurs qui font de cette (re)connaissance un nouveau théâtre d’affrontement, constituant une menace actuelle et réelle pour les conditions de l’habitabilité planétaire.
Direction et coordination

Mathieu Rateau
Chercheurs

Lyne G. Morissette
Doctorants

Léo Broudic

Anatole Danto

Margaux Mollier

Romain Pinel

Valentin Raymond

Alessandra Shea

Marguerite Taiarui
Post-doc

Pascaline Caudal
Masters
Alumni

Myfanwy Boudry

Marina Cacace

Lucy Cardona

Coralie Castel

Cosma Cazé

Camille Cherques

Léa Cinquabre

Fabien Clouette

Jules Danto

Chloé Faure

Julia Fertil

Rhoda Fofack

Julie Furiga

Jennifer Guarini

Grégoire Henrion

Camille Laurent

Kristina Likacheva

Ludwig Harris Boudi

Tristan Macadré

Benoit Othoniel

Annaëlle Ouie

Coralie Pauchet

Julien Pelet

Laura Pertel

Tiago Pires da Cruz

Mathieu Rateau

Yaelle Reed

Justine Réveillas

Fabien Riera

Clément Roux-Riou

Damien Schrijen
