Simi 2015 : la grand messe des pros de l’immobilier

Après un début de rencontre un peu particulier, partagé entre la dynamique qui accompagne les marchés d’investissement et la réserve due aux évènements qui ont touchés la France, le rendez-vous des professionnels de l’immobilier a trouvé ses marques et a permis aux 26 000 visiteurs d’échanger sur la matière immobilière.

L’édition 2015, qui se déroulait en même temps que la COP21, a mis en avant le développement durable, en primant plusieurs initiatives tel que le Campus Sanofi Val de Bièvre. Elle s’est également attardée sur les nouvelles utilisations des surfaces de bureaux (bureau de proximité, programme d’incubation, bureaux éphémères…) et sur l’intérêt d’investir en région.

A ce titre, Arline Gaujal Kempler a été invitée à participer à une conférence d’ouverture consacrée à l’investissement dans des villes régionales de taille moyenne. Cette table ronde, organisée par BNP Paribas Real Estate et animée par Sandra Roumi de Business Immo, réunissait des investisseurs (Foncière INEA, Foncière des Régions) et de grands utilisateurs régionaux (SNCF, Régus).

BNP Paribas Real Estate a présenté un tour d’horizon des marchés immobiliers de chacune des villes étudiées (Metz, Montpellier, Nancy, Grenoble et Tour). Chaque participant intervenait ensuite pour faire part de son expérience sur le terrain.

Il est à noter que Foncière INEA est présente dans chacune des villes, sauf à Grenoble. A Montpellier, où elle détient déjà deux immeubles, elle vient d’acquérir un troisième immeuble (Ywood) qui sera livré en 2017.

Arline Gaujal Kempler a profité de cette table ronde pour rappeler les principes de base des investissements dans des villes de taille moyenne :

  • choisir des immeubles en adéquation avec la taille de la ville,
  • divisibles à partir de 150/200 m² afin de répondre à la demande de tous les utilisateurs,
  • offrant des prestations qualitatives (immeubles en bon état ou neufs),
  • et trouver dans ces villes des relais de commercialisateurs nationaux.
  • Bien entendu, les principes de bases à tout investissement (situation, qualité intrinsèque de chaque immeuble, niveau du loyer, charges locatives etc.) restent inchangés.